Adolf, mais hors contexte : mdr

29. "Tout ici bas peut devenir meilleur"
HITLER "Mein Kampf" 30. "Toute défaite peut être mère d'une victoire future." id. ibid. 31. "Au-delà des différences de classes, naîtra un jour un peuple de citoyens, uni et amalgam‚ par un commun amour et une commune fiert‚, in‚branlable et invincible … jamais." id. ibid. 32. "Car les plus grands bouleversements qui se sont produits sur cette terre auraient ‚t‚ inconcevables si, au lieu de passions fanatiques et m^eme hyst‚riques, ils avaient dispos‚ des vertus bourgeoises qui prisent le calme et le bon ordre." id. ibid. 33. BALLADE En realgar, en arsenic rocher, En orpiment, en salp^etre et chaux vive, En plomb boullant pour mieux les ‚morcher, En suif et poix d‚tremp‚s de lessive Faite d'‚trons et de pissat de Juive, En lavailles de jambes … meseaux, En raclures de pied et vieux houseaux, En sang d'aspic et tels drogues vlimeuses, En fiel de loups, de renards et blaireaux, Soient frites ces langues envieuses ! En cervelle de chat qui hait p^echer, Noir et si vieil qu'il n'ait dent en gencive, D'un viel m^atin qui vaut bien aussi cher, Tout enrag‚, en sa bave et salive, En l'‚cume d'une mule poussive, Detranchee menue a bons ciseaux, En eau o— rats plongent groins et museaux, Raines, crapauds et b^etes dangereuses, Serpents, lezards et tels nobles oiseaux, Soient frites ces langues envieuses ! En sublimé, dangereux à toucher, Et ou nombril d'une couleuvre vive, En sang qu'on voit es palettes secher Chez les barbiers quand pleine lune arrive, Dont l'un est noir, l'autre plus vert que cive, En chancre et fic, et en ces ords cuveaux O— nourrices essangent leurs drapeaux, En petits bains de filles amoureuses (Qui ne m'entend n'a suivi les bordeaux) Soient frites ces langues envieuses ! Prince, passez tous ces friands morceaux S'étamine, sacs n'avez ou bluteaux, Parmi le fond d'unes braies breneuses ; Mais, par avant, en étrons de pourceaux Soient frites ces langues envieuses ! VILLON Ed. Garnier pp. 88 / 9 34. Quand je considere ces têtes Entassées en ces charniers, Tous furent maîtres des requêtes, Au moins de la Chambre aux Deniers, Ou tous furent portepaniers : Autant puis l'un que l'autre dire ; Car d'evêques ou lanterniers, Je n'y connois rien à redire. id. "Testament" N° CLXII 35. Et icelles qui s'enclinoient Unes contre autres en leurs vies, Desquelles les unes régnoient, Des autres craintes et servies, La les vois toutes assouvies, Ensemble en un tas pêle mêle. Seigneuries leur sont ravies ; Clerc ne maître ne s'y appelle. Or ils sont morts, Dieu ait leurs ames! Quant est des corps, ils sont pourris, Aient été seigneurs ou dames, Souef et tendrement nourris De crème, fromentee ou riz ; Leurs os sont declinés en poudre, Auxquels ne chaut d'ébats ne ris. Plaise au doux Jesus les absoudre ! id. ibid. N° CLXIII - CLXIV

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